Timidité
Timidité
Je me perds dans mes rêves
Afin de t’imaginer mienne
Comme tout bon rêveur je ne retiens rien
Je me livre corps et âmes
Car j’inspire l’envie de t’aimer
Mes non dit, se laissent entendre
Le ridicule ne m’est guère
Car seul ton bonheur et ton sourire me préoccupe
Les lueurs des files imaginaires seront le berceau de ma réalité
Prétends que t’es la Reine saurais blasphémer.
Mais sache que la Souveraine Joie ainsi que le Souverain bonheur font de toi leurs sources d’inspirations
Brillante telle une mes rêves étincelle ma vie
Tout en réchauffant l’imaginaire que tu fertilise
Qu’en est-il ? Qu’est ce ?
De nuits en nuits, de sommeilles en sommeilles je sens le prévisible
Que dois-je ? Que devrais-je ?
L’heure est à la réalité
Telle que l’imaginaire aspire ses dernières bouffées d’aire
J’inspire à la concrétisation de cette bulle imaginaire
Mais quand est-il des sentiments ?
Que faire face à l’indécis ?
Que m’est-il réservé derrière ce soleil
Telle perdu entre le paradis et l’enfer
Je m’enferme dans une larme à gout amer
Ne pouvant m’exprimer je me déversai dans la rivière de l’univers
Suis-je incapable d’aimer ?
Le soir je m’ennuis
Mes rêves se consument par des cauchemars
Retranché dans mes anciennes mœurs je m’asservis à lui
Soumis je perds de vue le Phare
Qu’en adviendra t-il d’eux ?
Maintenant transformer en illusion.
Ils sillonnent le couloir du fantasme
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